Narrated Abu Huraira:

A man asked the Prophet, O Allah's Messenger (ﷺ)! What kind of charity is the best? He replied. To give in charity when you are healthy and greedy hoping to be wealthy and afraid of becoming poor. Don't delay giving in charity till the time when you are on the death bed when you say, 'Give so much to soand- so and so much to so-and so,' and at that time the property is not yours but it belongs to so-and-so (i.e. your inheritors).

D'après Abu Zur'a, Abu Hurayra (radiallahanho) dit: «Un homme interrogea le Prophète  : 0 Messager d'Allah  ! quelle est la meilleure des aumônes? — C'est ce que tu fais en restant en bon état et en étant attaché [à la vie], en espérant la richesse et en craignant la pauvreté... Ne [la] retarde pas jusqu'au moment où [le dernier souffle] arrive au gosier pour dire: Un tel aura tant et Un tel tant; quant à Un tel, il a déjà une part [de la succession]. » On rapporte que Churayh, 'Umar ibn 'Abdal'Azîz, Tâwus, 'Atâ' et 'Udhayna étaient d'avis d'accepter la reconnaissance d'une dette par le malade. AlHasan: L'aumône qui doit être la plus observée est celle qu'on peut faire le jour où l'on quitte la vie de l'icibas pour l'Audelà. Ibrahîm et alHakam dirent: L'héritier est désengagé de payer la dette [revenant au défunt] au cas où celuici a accepté de le faire... Râfî' ibn Khudayj fit le testament de ne pas compter avec la succession ce que contenait la maison de son épouse fazarite. AlHasan: Si, à l'article de la mort, on dit à son esclave: Je t'ai affranchi , alors cela est valable. AchCha'by: II est permis qu'à l'article de la mort, la femme dise: Mon mari m'avait payé, et j'avais reçu de lui [mon dû]. Un certain homme est d'avis que l'aveu du moribond n'est pas permis s'il est fait au profit des héritiers, car cela est sujet à suspicion. Mais plus tard, il trouva bon de dire: Son aveu est permis s'il s'agit de dépôt, d'une marchandise ou d'une mudaraba(1) Le Prophète  dit: Evitez la suspicion, car la suspicion mène à avoir les plus mensongères des paroles. Les biens des Musulmans ne sont pas licites [à être pris](2); car le Prophète  dit: Le signe de l'hypocrite est qu'il trahit lorsqu'on lui fait confiance. Allah, le TrèsHaut dit:

D'après Abu Zur'a, Abu Hurayra (radiallahanho) dit: «Un homme interrogea le Prophète  : 0 Messager d'Allah  ! quelle est la meilleure des aumônes? — C'est ce que tu fais en restant en bon état et en étant attaché [à la vie], en espérant la richesse et en craignant la pauvreté... Ne [la] retarde pas jusqu'au moment où [le dernier souffle] arrive au gosier pour dire: Un tel aura tant et Un tel tant; quant à Un tel, il a déjà une part [de la succession]. » On rapporte que Churayh, 'Umar ibn 'Abdal'Azîz, Tâwus, 'Atâ' et 'Udhayna étaient d'avis d'accepter la reconnaissance d'une dette par le malade. AlHasan: L'aumône qui doit être la plus observée est celle qu'on peut faire le jour où l'on quitte la vie de l'icibas pour l'Audelà. Ibrahîm et alHakam dirent: L'héritier est désengagé de payer la dette [revenant au défunt] au cas où celuici a accepté de le faire... Râfî' ibn Khudayj fit le testament de ne pas compter avec la succession ce que contenait la maison de son épouse fazarite. AlHasan: Si, à l'article de la mort, on dit à son esclave: Je t'ai affranchi , alors cela est valable. AchCha'by: II est permis qu'à l'article de la mort, la femme dise: Mon mari m'avait payé, et j'avais reçu de lui [mon dû]. Un certain homme est d'avis que l'aveu du moribond n'est pas permis s'il est fait au profit des héritiers, car cela est sujet à suspicion. Mais plus tard, il trouva bon de dire: Son aveu est permis s'il s'agit de dépôt, d'une marchandise ou d'une mudaraba(1) Le Prophète  dit: Evitez la suspicion, car la suspicion mène à avoir les plus mensongères des paroles. Les biens des Musulmans ne sont pas licites [à être pris](2); car le Prophète  dit: Le signe de l'hypocrite est qu'il trahit lorsqu'on lui fait confiance. Allah, le TrèsHaut dit: